Le Jubilé 2025 à Rome : Une Invitation Spirituelle à ne pas Manquer !

Du 15 février au 19 février 2025

Le Pape François a proclamé un jubilé exceptionnel à Rome pour l’année 2025. Cet événement riche en spiritualité et en tradition s’inscrit dans une lignée historique remontant à 1300, lorsque le Pape Boniface VIII a initié cette célébration spéciale qui a lieu tous les 25 ans.

Un Jubilé sous le signe de l’Espérance

Placée sous le thème « Pèlerins d’espérance », cette grande célébration débutera le 24 décembre 2024 et accueillera des millions de fidèles du monde entier. Selon les estimations, entre 32 et 40 millions de pèlerins convergeront vers la Ville Éternelle, dont environ 800 000 pèlerins français. C’est une occasion unique de vivre un moment de recueillement dans un cadre empreint de foi et d’histoire.

Participez au pèlerinage diocésain du diocèse de Meaux

Pour marquer cet événement exceptionnel, le service des pèlerinages du diocèse de Meaux organise un pèlerinage diocésain du 15 au 19 février 2025, sous la direction spirituelle de Mgr Guillaume De Lisle. Une opportunité rare pour les fidèles de se joindre à cette expérience collective de foi et de fraternité.

Informations pratiques et inscriptions

Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 18 novembre 2024, mais attention, le nombre de places est limité ! Ne tardez pas à réserver votre participation pour garantir votre présence à cet événement exceptionnel.

Pour en savoir plus et effectuer votre inscription :

Rejoignez-nous pour vivre ce moment unique et spirituellement riche à Rome !


Un jubilé, c’est bien plus qu’un événement religieux : c’est une expérience de foi, de communion et d’espoir. Ne manquez pas cette occasion de marcher sur les traces de millions de pèlerins dans la Ville Éternelle.

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ACAT Appel du mois d’octobre
26 septembre

ACAT Appel du mois d’octobre

La population arménienne du Haut-Karabagh a été contrainte de quitter sa terre natale pour fuir le conflit. Aujourd’hui, elle se trouve dans l’incapacité de retourner chez elle, par crainte des persécutions dont les Arméniens sont victimes en Azerbaïdjan.

Le Haut-Karabagh, ou Artsakh en arménien, est une région du Caucase du Sud, géographiquement située dans le territoire Azerbaïdjanais, mais historiquement peuplée par une majorité arménienne chrétienne. Depuis que ce territoire a proclamé son indépendance, demandant son rattachement à l’Arménie en 1988, et à la suite de la chute de l’URSS, les deux pays s’affrontent de manière sanglante pour son contrôle.

Une guerre, un blocus, une souffrance

Enclavée depuis la dernière guerre arméno azerbaidjanaise de 2020, la République autoproclamée du Haut-Karabagh dépendait fortement du soutien de l’Arménie. Une seule route l’y reliait, le corridor de Latchine, qu’empruntaient environ 1200 camions chaque jour. L’Azerbaïdjan a mis fin à ce trafic, en violation de ses obligations internationales, en instaurant un blocus total le 12 décembre 2022 créant de graves pénuries de nourriture, fournitures médicales et carburant dans la région. Ce blocus n’a pris fin que le 19 septembre 2023, lorsque l’Azerbaïdjan a pris le contrôle de la région par une offensive militaire. Craignant un gouvernement qui leur avait déjà infligé 9 mois de souffrances et de violations de leurs droits humains, la quasi-totalité de la population, soit plus de 120 000 Arméniens ethniques, a fui la région.

Un peuple chassé de sa région natale

Aujourd’hui, seuls 50 à 1000 Arméniens y vivraient encore, selon un rapport d’une mission des Nations Unies du 5 octobre 2023. Vingt-trois sont encore détenus par les autorités azerbaïd- janaises dans des conditions incertaines et jugés sans garanties de procès équitable. Surtout, l’Azerbaïdjan mène une véritable campagne anti-arménienne pour garantir que la région ne retrouvera jamais son autonomie ni sa population arménienne. Ainsi, une de ses conditions pour la signature du traité de paix est de retirer toute mention du Haut-Karabagh de la constitution arménienne, afin de le couper de son défenseur . Pendant ce temps, les auteurs de crimes de guerre envers des Arméniens restent impunis, et l’Azerbaïdjan détruit de nombreux lieux de culte chrétiens pour effacer la présence arménienne de la région. L’ACAT-France demande à l’Azerbaïdjan de cesser les violations des droits humains dans le Haut-Karabagh, de garantir le respect de la liberté de croyance, d’arrêter la destruction des églises arméniennes, et de juger équitablement les prisonniers arméniens, conformément à ses obligations internationales.